Secteur bancaire en Iran

Quid du secteur bancaire en Iran ?

La banque en Iran.

Secteur bancaire en Iran. Certes l’embargo et les sanctions qui frappaient l’Iran sont progressivement levés, comme consigné dans l’accord du 14 juillet 2015. Certes, ce pays attire de très nombreux investisseurs, mais s’y implanter nécessite une bonne connaissance des us et coutumes locales. Il est donc essentiel de se faire conseiller et aider par de véritables spécialistes du pays, comme les sont les avocats du cabinet BBP Avocats Paris, cabinet de droit des affaires international et spécialiste de l’Iran, référencé Business France Iran. Ils peuvent notamment épauler les entreprises du secteur bancaire.

Ce n’est certes pas le secteur le plus aisé à pénétrer, mais avec de bons alliés à l’impossible nul n’est tenu. Ainsi, certains chefs d’entreprises du secteur bancaire feront-ils peut-être le déplacement avec les avocats du cabinet BBP Avocats Paris lors de la mission de prospection plurisectorielle organisée par la Chambre de commerce Paris-Ile-de-France. Les spécialistes nous livrent ici un aperçu des opportunités d’affaires réalisables sur ce marché.

Sachez tout d’abord qu’en Iran le secteur bancaire est régi par la loi du 9 juillet 1972. Cette dernière définit en effet le cadre pour la création et le fonctionnement des banques en Iran, au premier rang desquelles figure la banque centrale. Cette dernière dispose notamment d’un rôle prépondérant dans l’encadrement du crédit. Cette loi semble sur le papier quelque peu restrictive.

Un exemple ? Le capital et les dirigeants des banques locales doivent être d’origine iranienne. Mais si en 1979 l’ensemble des banques a été nationalisé, les choses ont depuis favorablement évolué en faveur des investisseurs et chefs d’entreprises étrangers et qui plus est depuis la levée progressive de l’embargo et des sanctions qui frappaient le pays, démarrée en 2015. En effet, on compte aujourd’hui une dizaine de banques privées, dont cinq sont particulièrement actives dans le commerce international. La fragilité du secteur bancaire représente une forte opportunité pour les investisseurs étrangers. En effet, cette faiblesse relative provient essentiellement d’une sous-capitalisation chronique. Les banques iraniennes ont donc besoin des capitaux étrangers pour grandir. Autre raison : celle inhérente à une surexposition au secteur immobilier commercial. Ainsi, pour limiter les effets de cette bulle spéculative dans le secteur immobilier commercial, la banque centrale a récemment imposé aux banques iraniennes de ne pas être exposées à plus de 50% de leurs actifs au secteur immobilier. Ce qui laisse une large place, là encore, aux investisseurs étrangers.

Enfin notons qu’en dehors des banques, les organismes financiers non bancaires ont également une jolie carte à jouer.

S’implanter en Iran demande une expertise afin de mettre tous les atouts de son coté. Vous souhaitez plus d’informations sur les compétences du Cabinet BBP Avocats Associés à Paris, contactez-nous au +33.(0)1.44.96.89.29 ou en remplissant le formulaire contact disponible dans l’onglet « Contactez-nous ».