Industrie en Iran

Industrie en Iran avec le Cabinet BBP Avocats Paris

Opportunité du marché iranien, l’industrie, un vecteur porteur…

Industrie en Iran. L’Iran est de nouveau ouvert au monde entier, depuis l’accord du 14 juillet 2015 et la levée progressive de l’embargo qui le frappait. Un marché de 80 millions de consommateurs potentiels qui intéresse de nombreux chefs d’entreprises français. Afin de leur permettre de s’implanter dans de bonnes conditions, ils peuvent s’en remettre au cabinet BBP Avocats Paris, cabinet de droit des affaires international et spécialiste de l’Iran, référencé Business France Iran.

Les avocats du Cabinet d’affaires Bassiri-Barrois Pascal Associés font le point sur l’un des segments particulièrement porteur d’affaires : l’industrie.

Avant de partir pour une nouvelle mission de prospection plurisectorielle avec la Chambre de commerce et d’industrie Paris-Ile-de-France et une délégation de chefs d’entreprises, les avocats du cabinet BBP Avocats Paris nous exposent les secteurs porteurs du marché iranien, parmi lesquels figure donc l’industrie. 
En Iran, l’industrie demeure sous le contrôle de grands consortiums publics dans des domaines aussi variés que l’automobile, l’énergie, la mécanique, les machines agricoles, la métallurgie ou encore les industries marines et offshores. Mais depuis la levée progressive de l’embargo, de grands groupes privés n’hésitent pas à investir et à s’implanter dans le pays, notamment pour y développer une production d’équipements spécifiques ou dédiés à la consommation locale.

Industrie en Iran, l’automobile…

Un secteur particulièrement porteur : celui de l’industrie automobile. Malgré l’embargo et les difficultés économiques alors engendrées, malgré plusieurs épisodes de nationalisations l’Iran et ses 1,6 millions de véhicules produits figuraient tout de même à la 11ème place des fabricants de voitures dans le monde, en 2011. Les marques françaises représentaient alors 35 à 40% du marché automobile iranien et l’automobile représentait plus de 60% des exportations françaises vers l’Iran. Nous l’avons vu, le marché iranien est extrêmement vaste et la capacité de production du secteur automobile fixée à 2 millions de véhicules par an est loin d’être atteinte. En effet, en 2014/2015 1,1 millions de véhicules « seulement » sont sortis des chaînes de montage ou d’assemblage. Un énorme potentiel donc …

Industrie en Iran, les mines…

Un potentiel tout aussi vaste du côté de l’industrie minière qui ne s’est pas assez développée. En effet, elle ne contribue qu’à hauteur d’un demi-point de PIB dans le calcul de la richesse nationale. Les raisons de ce sous-développement représentent autant d’opportunités pour les chefs d’entreprises étrangers : le manque d’infrastructures et les difficultés d’exploitation. Pourtant le pays est riche de ses matières premières. Il dispose en effet d’importantes ressources et mines produisant du charbon, du chrome, du cobalt, du cuivre, du fer, du gypse, du molybdène, de l’or, du plomb, du sel, de la silice, du strontium, ou encore de l’uranium. Prenons l’exemple du cuivre. L’Iran dispose du second plus grand gisement en la matière au monde, avec 5% de la réserve mondiale. Sur ce secteur encore les chefs d’entreprises étrangers sont les bienvenus puisque l’Etat iranien, propriétaire de la majeure partie des mines du pays, souhaite attirer les investisseurs pour développer l’extraction du cuivre, mais aussi augmenter la production d’aluminium.

Industrie en Iran, le ciment…

L’industrie cimentière procure le même décor : un pays important producteur qui souhaite se développer. L’Iran est le premier producteur de ciment du Moyen-Orient et le 4ème producteur mondial avec une capacité de 7 millions de tonnes par an. S’il arrive à se développer comme il le souhaite, l’Iran pourrait même ravir la 3ème place à l’ogre américain.

Industrie en Iran, la sidérurgie…

Enfin l’industrie sidérurgique possède également de nombreux atouts qu’il s’agit ici encore de bien exploiter. Ainsi, le sous-sol iranien est pourvu de nombreuses réserves de fer, nous l’avons vu. Ces réserves notoires lui ont permis de développer une industrie sidérurgique relativement importante. Mais elle est amenée à se transformer puisque l’Etat a pris la décision de restructurer le secteur, notamment en vue de futures exportations, quand jusque-là la production ne répondait qu’à la demande domestique locale. Deux chiffres montrent tout particulièrement le potentiel de ce marché. Actuellement la production d’acier est estimée à 16 millions de tonnes maximum par an, alors que le potentiel est de 32 millions de tonnes ! Et l’Etat iranien va encore plus loin : il souhaite atteindre une capacité de production de 55 millions de tonnes, dont 14 millions destinées aux seules exportations.

S’implanter en Iran demande une expertise afin de mettre tous les atouts de son coté. Vous souhaitez plus d’informations sur les compétences du Cabinet BBP Avocats Associés à Paris, contactez-nous au +33.(0)1.44.96.89.29 ou en remplissant le formulaire contact disponible dans l’onglet « Contactez-nous ».